Il en va des rapports de pouvoir comme de la logique libérale : on veut nous faire croire qu’il ne pourrait pas enêtre autrement. Dès le berceau, on apprend à se soumettre : aux parents, aux professeurs, aux patrons, aux dirigeants de tout poil. Les occasions d’être dominé ne manquent pas, à plus forte raison si on est une femme, si on est étranger ou si on en a l’air, si on naît pauvre, si on est homosexuel… En fin de compte, on peut tous être le Rom de quelqu’un.
Et la bonne vieille autorité, parlons-en ! Elle a tout de même vite fait de tourner à l’autoritarisme, puisqu’elle s’exerce par la contrainte, (...)